La dopamine est le neurotransmetteur du désir soutenu par le plaisir d'une part et le besoin d'autre part.
A chaque instant nous avons le choix créatif de nous ressourcer de façon consciente et libre. Cela peut être une relaxation dans son sens profond : rel-axé. Voilà une autre phrase de Stéphane Haskell que j'aurai pu écrire sur mon post d'aujourd'hui.
"Pour penser à soi, on a besoin d'échapper aux cultes de l'apparence, au narcissisme, on a besoin de calme, de ralentir le flot des pensées superficielles, sinon on se retrouve dans la confusion." L'âge est une variable pour évaluer l'effet traumatisant d'une agression.
La signification qu'un enfant attribue à un événement dépend du niveau de construction de son appareil psychique. Un nourrisson souffre de la souffrance de sa mère, mais il ne souffre pas des causes de sa souffrance. A l'âge scolaire, la personnalisation de l'enfant est plus avancée, il comprend mieux la dépression de ses parents et la cause du malheur. Un adolescent, au moment où il envisage de se socialiser, peut être choqué par la cause de la dépression de sa mère et comprend pleinement la cause lié au chômage du père, par exemple. La principale arme pour affronter l'adversité, c'est la fantaisie. En transformant une souffrance en un bel événement, utile à la société, nous métamorphosons l'horreur. Extrait du livre "les vilains petits canards". La phrase est extraite du nouveau livre :
"Un couple, deux histoires à guérir" de Alfred R. Austermann et Bettina Austermann. La reine incontestée de la romance moderne à la française, envisage l’écriture comme un plaisir et, malgré son succès impressionnant, met un point d’honneur à rester proche de ses lectrices et à ne pas se prendre trop au sérieux.
Voici un extrait d'un interview de Serge Tisseron paru dans Femme actuelle. "Le plus souvent, les secrets sont construits autour de naissances ou de morts vécues comme problématiques. Deux situations peuvent l’expliquer. Tout d’abord, la personne qui a vécu une telle situation peut refuser d’en parler, soit parce qu’elle craint de tomber sous le coup de la loi, soit parce qu’elle en a honte, soit parce qu’elle craint de malmener son entourage, soit un peu tout cela. Mais parfois, ce n’est pas qu’elle ne veut pas en parler, c’est qu’elle ne le peut pas. Les sensations et les émotions qui ont accompagné l’événement sont encore tellement présentes qu’elle craint de les réactiver en évoquant ce qu’elle a vécu, et d’en souffrir à nouveau. Ces situations peuvent être individuelles comme un avortement, un deuil, un harcèlement… mais ils ont toujours aussi une porte d’entrée collective. Par exemple, si dans un pays, l’avortement est condamné par la loi, le pratiquer est évidemment beaucoup plus traumatisant que si la société le prend en charge et qu’il est possible d’en parler." La beauté des jours est un roman chaleureux et tendre sur la force libératrice de l’art, sur son pouvoir apaisant et révélateur, sur la beauté de l’imprévisible dans une vie remplie de routines.
|
|
Lavernerie - 350 Route de Peyrole
81310 Parisot Tarn, France |
Fixe: 05 63 41 33 71
Mobile: 06 11 98 06 16 |
elisabeth-bazin.fr , Copyright © 2019, Tout droits réservés
|