Hier par hasard j'ai écouté dans ma voiture une émission sur France Culture en allant au notaire.
Le thème : la confiance ... La confiance toute simple peut sembler adossée à un optimisme excessif dans la nature humaine. Cependant, il n’y a pas de société sans confiance minimale : une méfiance tous azimuts, toute la journée, est invivable. Pas de commerce si on craint sans cesse de se faire arnaquer. Pas d’achat de nourriture si on suspecte le vendeur de nous empoisonner sans vergogne. Nous sommes bien obligés de faire un peu confiance. Mais y a-t-il un point à partir duquel la confiance devient excessive, naïve, pure crédulité ? Cette question invite à réfléchir à la manière dont nous apprenons, dans nos vies, à faire confiance ou, au contraire, à se méfier. A la façon dont ces processus s’installent en nous. Ces processus peuvent-ils se détraquer ? Y a-t-il des époques, la nôtre peut-être, où l’on tend de plus en plus à croire n’importe quoi et où, en même temps, on se méfie sans cesse de mille choses ? Mon intérêt a été attiré par la présence de Vincent Cespedes Philosophe, écrivain rencontré en 2016 à Albi lors d'une conférence. Louis Quéré Sociologue, directeur de recherches au CNRS et Joëlle Zask Philosophe, maîtresse de conférences à l'université Aix-Marseille, membre de l’Institut universitaire de France, spécialiste du pragmatisme, de philosophie sociale et de démocratie participative étaient en sa compagnie. |
AuteurElisabeth BAZIN, Archives
February 2025
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