Hier soir nous avons visionné un film de Carl Erick Rinsch "les 47 Ronins". Sorti en 2013, ce film est critiquable par rapport à la fidélité à l’histoire car jugé trop onirique. Les 47 rônins sont et restent les guerriers les plus emblématiques de la légende samouraï. Emprunts de fidélité, de fierté et de courage, ils représentent les valeurs fondamentales de la caste guerrière japonaise. Dans la même veine, je vous invite à lire "Le livre du thé" pour sentir la dimension d'un art intrigant.
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Annie Ernaux est une de mes romancières chéries ...
Cet extrait d'un article du Monde nous donne le goût de sa saveur littéraire. "La lire, c’est la connaître. Elle est en définitive l’unique objet de ses livres. Se raconter soi-même comme si elle était une autre, intégrer à son autobiographie permanente les conditions objectives de son évolution de fille d’ouvriers devenus épiciers, en prof agrégée de lettres et en romancière parmi les plus importantes de son époque, touiller la même tambouille de l’ascension sociale et de la honte d’être un transfuge de classe, éviter le jugement, le surplomb, réduire peu à peu son écriture à un outil efficace et tranchant comme un canif, ou un couteau à désosser… « Je parle de moi parce que c’est le sujet que je connais le mieux quand même… Je m’intéresse à ce qu’il y a pu y avoir de social déposé en moi comme dans tout le monde. » Annie Ernaux Nous connaissons par cœur sa comédie humaine débitée en fines tranches qui sont autant de livres d’une centaine de pages, comme si, au-delà, commençait justement la littérature – et sa cohorte d’adjectifs, de sentiments, d’impressions. Le mensonge, peut-être. Elle écrit pour « venger sa race », a-t-elle dit il y a longtemps et pour cela pas besoin de faire joli. Tout a été disséqué, remémoré : l’enfance normande (Les Armoires vides), l’ascension sociale de ses parents (La Place, La Honte), son adolescence (Ce qu’ils disent ou rien), son mariage, la naissance de ses deux fils et ses débuts professionnels à Annecy (La Femme gelée), l’avortement (Les Armoires vides, L’Evénement), la maladie d’Alzheimer de sa mère (Je ne suis pas sortie de ma nuit) et sa mort (Une femme), un amour de passage (Passion simple), sa sœur décédée avant sa naissance (L’Autre Fille), la perte violente de la virginité (Mémoire de fille). Et puis, comme une nef de cathédrale qui les englobe tous, il y a Les Années, le livre du temps qui cavale de sa naissance en 1940, à Lillebonne (Seine-Maritime)." Ecrit par Philippe Ridet Publié le 26 avril 2019 à 02h02 - Mis à jour le 27 avril 2019 à 09h57 Le Magicien d'Oz est un film culte.
Le Magicien d’Oz – le personnage – est pour Dorothy un moyen d’échapper littéralement à la réalité, il est aussi le catalyseur qui lui permet de regarder celle-ci d’un œil nouveau. Tout a toujours été là, elle ne le voyait simplement pas. Par analogie, Le Magicien d’Oz – le film, cette fois – a joué pour le public américain de la fin des années 1930 le rôle d’une parenthèse insouciante et enchantée, loin des troubles du monde, à moins d’une semaine du début de ce qui allait être la Seconde Guerre Mondiale. Le film est vecteur d’espérance, une incitation à voir le bon côté des choses et à toujours croire en l’espoir – sans aucun doute une des raisons qui poussèrent nombre de soldats américains envoyés en Europe à adopter « Over The Rainbow » comme un symbole de leurs chers États-Unis là-bas, de l’autre côté de l’Atlantique. On peut pousser encore plus loin la réflexion d’ailleurs ; lorsque la fin du film nous dévoile que le personnage éponyme n’est en réalité pas vraiment un être doué de magie, mais un simple machiniste qui fait croire à des rêves, il s’apparente finalement au cinéaste lui-même, qui, maniant ses machines à sons et à images, n’a parfois rien à envier à un magicien. Pas besoin d’abus graves pour perturber le développement cérébral d’un enfant : ceux qui ont grandi dans un environnement « brutal », sans forcément être violent, connaissent aussi des troubles anxieux et leur cerveau est plus petit que la moyenne.
Être parent n’est pas toujours une partie de plaisir. Entre les nuits écourtées à cause des pleurs, les réunions Zoom passées à changer des couches (coucou le confinement) et la préparation des repas matin, midi et soir, notre patience est tous les jours mise à rude épreuve. Si bien que parfois, il peut arriver de craquer et de hurler sur notre progéniture. Si cet accès de colère est compréhensible (il n’y a pas de parents parfaits), une étude de l’Université de Cambridge révèle que le fait de déverser sa colère de façon répétée sur ses enfants (en criant, en secouant ou en frappant) peut avoir un impact sur le développement de leur cerveau à l’adolescence. Les chercheurs expliquent que, chez l’adolescent ayant grandi dans un climat plombé par les cris et la colère, les régions de l’amygdale et du cortex préfrontal (qui jouent un rôle clé dans la régulation des émotions et dans l’émergence de l’anxiété et de la dépression) étaient plus petites que celles des enfants élevés dans un environnement sain. Fait troublant, ce même phénomène est observé dans le cerveau des adolescents qui ont été victimes de traumatismes dans leur enfance, qu’il s’agisse d’abus sexuels, physiques ou émotionnels. « Je pense qu’il est important que les parents et la société réalisent qu’avoir recours à des pratiques parentales trop brutales et fréquentes peut altérer le développement d’un enfant, explique Sabrina Suffren, l’autrice principale de l’étude, dans un communiqué. Je parle ici de leur développement social et émotionnel, mais aussi du développement de leur cerveau. » Des constatations « importantes et nouvelles » Les chercheurs se sont basés sur des données provenant d’enfants suivis dès leur naissance au début des années 2000 par le Groupe de recherche sur l’inadaptation psychosociale chez l’enfant (RARB) et l’Institut de la statistique du Québec. Dans le cadre de cette enquête, les pratiques parentales et les niveaux d’anxiété des enfants ont été évalués chaque année pour les enfants entre l’âge de 2 et 9 ans. Les données recueillies ont ensuite été utilisées et ont permis de diviser les enfants par groupes en fonction de leur exposition, faible ou élevée, à des pratiques parentales dures et répétées. Sabrina Suffren et son équipe ont ensuite évalué les niveaux d’anxiété des enfants et effectué des IRM sur ceux âgés entre 12 et 16 ans. Chez les plus exposés à la colère dans leur foyer, les zones du cerveau citées plus haut étaient plus petites. En résulte des risques d’anxiété et de dépression à l’adolescence ou à l’âge adulte. « Ces constations sont à la fois importantes et nouvelles, affirme Sabrina Suffren. C’est la première fois que des pratiques parentales qui ne peuvent pas être qualifiées d’abus graves sont liées à une diminution de la taille de certaines structures du cerveau, de la même manière que les victimes d’abus sérieux. » Article écrit par J. Mothu dans la revue Neon Ce matin, une personne m'a contacté pour savoir quelle différence entre une rencontre avec une constellation en individuel et un travail en collectif.
Après avoir discuté, nous sommes tombées d'accord sur le fait que pour un départ, l'individuel était plus adapté à la demande. Le travail en individuel s'apparente à celui de la ligne du temps ... technique de PNL. Le modèle de la Ligne du temps permet de donner un sens à notre expérience temporelle en plus de changer notre compréhension face à l’influence des émotions négatives et des décisions limitatives qui nous affectent. La thérapie de la ligne du temps est utile pour:
Il s’agit de savoir comment les individus différencient une mémoire passé d’un rêve futur. L'outil de la Ligne du temps, permet de résoudre des événements passés significatifs et ce, en concordance avec la façon dont opère déjà notre inconscient. Nous avons également la capacité de relâcher efficacement et rapidement des émotions négatives qui sont ancrées dans ces mémoires. Évidemment, relâcher de nombreuses émotions négatives de la mémoire, aura un impact majeur sur le comportement. |
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