Un des thèmes de constellation de ce soir :
"Comment trouver un équilibre dans la vie." Trouver le juste équilibre dans la sphère personnelle ou professionnelle demeure un vrai défi. Bien souvent notre histoire familiale peut donner une teinte particulière à nos actions.
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Le concept de la sérendipité m'a toujours intrigué.
Parfois les personnes qui démarrent les constellations peuvent faire le lien entre les deux concepts, c'est ce qui s'est produit hier soir lors des premières constellations. Or ces deux concepts sont très différents ... Voici un livre qui en parle : "De la sérendipité. Leçons de l’inattendu", Pek van Andel et Dominique Bourcier, L’Act mem, 2008 La sérendipité est un état d’esprit à cultiver pour faire des trouvailles, mais souvent refoulée par les chercheurs qui ne veulent pas être considérés comme des chercheurs par hasard. Pek van Andel, chercheur en sciences médicales à l’université de Groningue (Pays-Bas), vante cette démarche : dans son pays, les chercheurs ont le droit à leur vendredi pour méditer et se livrer aux délices de la sérendipité. Sentir, c’est être en lien avec la vie. C'est prendre conscience des tensions présentes en nous et du mouvement de vie à l’intérieur de nous. Ecouter son ressenti nous permet de développer cette connexion intime avec nous-même pour plus d’authenticité. Plus on prend conscience de cette connexion avec la vie, plus on est amené à la suivre. Tant que l’attention est portée sur la perception, nous sommes en connexion avec notre ressenti. Etre dans le ressenti nous oblige à être là, maintenant, pour répondre à la question : qu’est-ce que je ressens? Cet "ici et maintenant" est l’espace en nous qui nous permet d’accéder à plus grand. Aujourd'hui un travail sur le ressenti pour approcher le concept des constellations avec les jeûneuses. Selon les adeptes de la diète, le plus dur ce n’est pas la sensation de faim, qui disparaît peu à peu, mais cette crise d’acidose, qui peut causer désagréments.
Pour pallier le glucose manquant, le corps fabrique un substitut, grâce aux lipides: les corps cétoniques, appelés aussi le carburant du jeûne. Et à cause de cette absence d’alimentation, le taux d’acidité dans le sang augmente. Le corps sait utiliser ses déchets pour fabriquer du carburant, le cerveau doit lui faire une grande démarche. Alors aujourd'hui tout doux pour nos jeûneuses... Aujourd'hui, rencontre avec le groupe de jeûneuses des Belles Humeurs, leur descente alimentaire est faite, donc demain premier jour d'un stage de 6 belles journées de randonnées et constellations ... Pour ce soir, construire son arbre #généalogique en se basant sur le questionnaire qu'elles ont reçu dès leur inscription. Faire une jeûne c'est réguler son système digestif, faire le plein d’énergie, retrouvez un sommeil réparateur… La liste est longue des bienfaits du #jeûne… L’avantage d’un jeûne en centre est la qualité de leur promenade, nous allons découvrir de belles randonnées… Après 2 heures de marche tranquille mais tonique des constellations sont prévues ... Faire un jeûne c’est prendre soin de soi et de sa santé…
Durant un jeûne, l'on recharge des batteries, l'on se repose, car le jeûne c'est un repos cérébral… Nous avons tous des idées toutes faites concernant les individus que nous rencontrons. Hier soir, une personne m'indiquait qu'il s'était imaginée que les psy étaient toujours calmes. Du coup je lui ai indiqué ma spécialité: la gestion de la colère ... Cette mauvaise conseillère d'après certains, est une amie pour moi comme me l'a enseigné Salomon Nasielski qui d'ailleurs serait certainement en désaccord avec ce dicton. Maître en gestion de cette émotion, il enseigne encore comment en faire un bon usage lors que c'est nécessaire, ce qui est le cas en ce moment. En tout cas hier soir, lors l'inauguration de la maison d'hôtes Absolut Oiseaux, c'était la joie qui régnait. Ceci est un article sur le thème des préjugés a été écrit le le 27 octobre 2016 dans "The conversation".Les humains sont des créatures sociales très perfectionnées. Nos cerveaux nous ont permis de survivre et de prospérer au milieu d’environnements sociaux complexes. Ainsi, les comportements et les émotions qui nous permettent d’évoluer au sein de notre sphère sociale sont enracinés au sein d’un réseau de neurones à l’intérieur de nos cerveaux. Les motivations sociales, comme le désir de faire partie d’un groupe ou de se mesurer à d’autres personnes, figurent parmi les pulsions les plus élémentaires. En fait, nos cerveaux peuvent évaluer en une fraction de seconde l’appartenance aux « endogroupes », (« nous »), et aux « exogroupes », (« eux »). Jadis nécessaire à notre survie, cette capacité est devenue, en grande partie, un handicap pour la société. Comprendre le réseau neuronal contrôlant ces impulsions, ainsi que celles qui les modèrent, peut nous éclairer sur la façon dont on peut guérir cette plaie pour notre monde que représentent les injustices de notre société. Les préjugés dans le cerveau En psychologie sociale, le préjugé envers un individu se définit comme l’attitude qu’on prend à son égard à partir de son appartenance à un groupe. Les préjugés ont évolué parmi les humains parce qu’à une époque, ils nous permettaient d’éviter un péril réel. À la base, le préjugé est simplement l’association d’un signal sensoriel – par exemple la vue d’un serpent dans l’herbe ou le grognement d’un loup – à une réponse comportementale innée (ainsi le combat et la fuite). Dans des situations dangereuses, le facteur fondamental, c’est la mesure du temps. Les êtres humains ont donc mis en place des mécanismes pour réagir instantanément à des signaux visuels que nos cerveaux, sans qu’on en soit conscient, jugent menaçants. Notre héritage cérébral induit une tendance à juger de façon erronée un événement dangereux alors qu’il est tout simplement bénin. Il est plus sûr d’émettre des hypothèses « fausses/positives » (éviter quelque chose de bien) que de faire des suppositions « fausses/négatives » (ne pas éviter quelque chose de mauvais). Les neurosciences ont commencé à démêler ce qui, dans le cerveau humain et ses structures de neurones, sous-tend le préjugé. Celui-ci, nous le savons désormais, met en action un comportement qui suit un chemin neuronal complexe dans les régions du cortex et du sous-cortex. Une structure appelée l’amygdale est l’endroit qui dévolue dans le cerveau à la crainte et l’émotion. Les travaux effectués en psychologie ont pointé de façon constante la peur dans le comportement fondé sur le préjugé. Pour cette raison, la majeure partie des recherches concernant le cerveau dans ce domaine se sont concentrées sur l’amygdale et les régions du cortex qui influent sur elle. Pleins feux sur l’amygdale Dans une étude réalisée par Jaclyn Ronquillo et ses collègues, 11 jeunes Blancs, ont subi une IRMf pendant qu’on leur montrait des photos de visages de diverses couleurs. Quand il s’agissait de visages de Noirs, il en est résulté une plus grande activité de l’amygdale que lorsqu’ils regardaient des Blancs. L’activation de l’amygdale a été la même pour les visages de Noirs plus ou moins colorés, mais les personnes de race blanche dotées d’un teint sombre ont déclenché une plus grande activation que celles avec un teint plus clair. Les auteurs en ont conclu que des traits africains entraînaient une peur inconsciente parmi les Blancs de cette cohorte. Des recherches plus récentes ont accrédité la nature persistante du préjugé dans la psyché humaine. Chad Forbes et ses collègues ont découvert que même des sujets se prévalant de ne pas être soumis aux préjugés pouvaient en connaître dans certaines situations. Les sujets blancs étudiés expérimentaient une activation de l’amygdale au spectacle de visages de Noirs écoutant du rap violent et machiste ; mais aucune réaction s’ils écoutaient du death metal ou pas de musique du tout. De façon tout à fait intéressante, les chercheurs ont trouvé qu’était également activée une zone du cortex frontal – une région du cerveau censée diminuer l’activation de l’amygdale. Les auteurs de l’étude ont émis cette hypothèse : la musique renforcerait un stéréotype négatif à propos des Noirs, créant une situation où des Blancs se montrent incapables de modérer les émotions liées à leurs préjugés. En fait, les auteurs ont supposé que le cortex frontal – une zone du cerveau qu’on considère généralement comme la plus « élevée » parmi les fonctions cérébrales – a été mobilisée au contraire pour servir à justifier les préjugés ressentis par les participants qui écoutaient du rap. Selon d’autres travaux, la réaction de l’amygdale à des visages appartenant à des « exogroupes » n’est pas liée stricto sensu à des caractéristiques comme la race. Cet organe réagit à n’importe quelle catégorie d’« exogroupes ». Sa réponse dépend de la façon dont une personne juge qu’une information est significative ou pas : votre adhésion à une équipe sportive, votre sexe, votre orientation sexuelle, votre choix d’établissement scolaire, etc. Aujourd'hui est le grand jour où l'inauguration de la maisonnette Absolut Oiseaux.
Blotti près d’un grand chêne, le gîte domine une petite forêt, lieu idéal pour passer les vacances pour une petite famille de 4. L'occasion pour partager avec mes partenaires, un moment agréable !!!! Se sentir entourée, se sentir épaulée dans cette très belle aventure ... Aujourd'hui, "Jino", notre chat adoré, nous a accompagné dans la création d'un atelier très spécial : "La gourmandise, l'aryurveda et moi".
L’alimentation a une place importante en Ayurvéda, créée il y a des milliers d’année en Inde, la médecine ayurvédique vise à harmoniser notre corps avec notre esprit et pour maintenir cette harmonie, une bonne alimentation est nécessaire. La cuisine ayurvédique est saine, savoureuse et facile à réaliser. Cet atelier permet de toucher à nos souvenirs de gourmandises, d'en créer d'autres dans le cadre relaxé de la cuisine, grâce à la technique des constellations. "De quoi s'en pourlécher les babines ..." dirait Jino Christiane Singer de par ses écrits a été pour moi une source.
Son œuvre et sa réflexion personnelle sont tout entières centrées sur la prise en compte nécessaire du spirituel qui couve dans le cœur de chacun. Une œuvre profondément incarnée, ancrée dans un amour de la vie, un respect du corps, une célébration des liens et des relations. Une vie reçue comme un don, faisant signe vers un Autre. Christiane Singer avait le goût de l’essentiel, ce Réel, avec majuscule, qu’elle distinguait du réel superficiel où les vies modernes menacent de s’enliser et d’étouffer. Depuis des années, j'ai cherché des femmes inspirantes, passionnées et Elisabeth Kübler-Ross est l'une d'elle. Elle était une psychiatre et une psychologue américaine, pionnière de l'approche des soins palliatifs pour les personnes en fin de vie et de l'accompagnement aux mourants. En 1942, pour faire des études de médecine, elle devient réceptionniste d'un ophtalmologue, elle s'occupe d'enfants devenant aveugles ; c'est avec eux qu'elle découvre les cinq phases du deuil. En 1945, avec les "Volontaires pour la paix", elle se rend en Suède, puis va en Pologne, au milieu d'une épidémie de typhoïde. Au camp de concentration nazi de Majdanek, elle découvre les papillons noirs dessinés par les enfants avant de mourir. Atteinte de typhoïde, elle rentre en Suisse. En 1949, elle passe l'équivalent du bac. Elle commence des études de médecine. Son compagnon, Emmanuel Ross, un juif du Bronx, lui apprend à faire des dissections de cadavre. Elle est reçue médecin à l'Université de Zürich en 1957 et va aux États-Unis. Après d'autres hôpitaux, elle se trouve à Denver et, devant faire un cours aux internes sur la mort, elle fait venir Linda, une leucémique de seize ans. Elle obtient son titre de psychiatre en 1963 à l'Université de Chicago. A Chicago, en 1965, elle suit une psychanalyse. Elle discute avec des mourants derrière un miroir sans tain. La célébrité lui tombe dessus après un article dans la revue Life du 21 novembre 1969. Elle publie son premier livre en 1969 : "On Death and Dying" (Les derniers instants de la vie). L'Université se ligue contre elle. Avec son mari elle quitte Chicago. En 1972, elle fait des sorties hors du corps en suivant la méthode de Robert Monroe. Elle rencontre un ange, qu'elle nomme my ghost. Elle écrit la préface du livre de Raymond Moody "Life after life" (1975). L'hostilité des universités grandit. Elle s'installe à Escondido, au sud de la Californie. Elle organise des séminaires. Elle retourne en Virginie, elle se concentre sur les enfants qui vont mourir et elle découvre qu'ils le savent. Après une dépression, elle va vivre en plein désert en Arizona. Elle meurt à 78 ans en compagnie de son fils Kenneth et de sa fille Barbara. Elle est incinérée |
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