Comprendre l'amnésie traumatique pour retrouver la mémoire Muriel Salmona, psychiatre et psycho traumatologue indique que l'amnésie traumatique est un "mécanisme dissociatif" qui "fait disjoncter les circuits émotionnels et de la mémoire, et entraîne des troubles de la mémoire". Cela "va faire co-exister chez la victime des phases d’amnésie dissociative et des phases d’hypermnésie, une mémoire supra-performante, traumatique". Ainsi, "la mémoire sensorielle et émotionnelle de l’événement contenue dans l’amygdale cérébrale est isolée de l'hippocampe, une autre structure cérébrale qui gère la mémoire et le repérage temporo-spatial, sans elle aucun souvenir ne peut être mémorisé, ni remémoré, ni temporalisé. Lors de la disjonction, l'hippocampe ne peut pas faire son travail d'encodage et de stockage de la mémoire, celle-ci reste dans l'amygdale sans être traitée, ni transformée en mémoire autobiographique". Le but va être de réunifier cette mémoire. En fait nous avons laissé un bout de nous dans le passé, un bout de nous prostré sous le coup de la sidération psychique. Il va falloir aller le prendre par la main, pour ne faire plus qu'un. Pourquoi ça revient ? "A un moment donné, le cerveau est prêt : psychiquement, la personne a suffisamment de ressources pour faire face à ça". Souvent, un élément déclencheur est aussi là, une odeur, une chanson, un situation, une luminosité, ou un goût par exemple. Post élaboré à partir de l'article de Clémentine Billé dans Cosmopolitan.
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Deux travaux ont attiré mon attention dans un article de Sylvain Michelet.
C'est parce qu'intérieurement j'ai régulièrement rêvé de cet endroit qu'il s'est matérialisé.
Lorsque j'écris ces mots je me revois en 2004 dans un pavillon de la banlieue toulousaine, je mesure le chemin et le travail effectué. L'espoir a toujours été là sous forme de braises intérieures, et les visualisations ont aidées à la matérialisation. Il est bien évident que des milliers d'actions ont permis de réaliser ce que Jonathan Continente a réussi à capter sur cette photo. Mon travail m'amène sur plusieurs zones, l'une auprès de personnel de la petite enfance travaillant en crèches et l'autre dans le chemin de la thérapie.
Parfois les deux dans une même journée se rencontrent, le bilan à effectuer sur une intervention en lien avec le développement de l'enfant entre un an et demi et deux ans et les événements traumatiques vécus dans la même période par une personne que j'accompagne en constellation familiale. La vie vous amène des cadeaux. Aujourd'hui, dans mes accompagnements, j'ai rencontré la curiosité, elle fait tomber la peur.
Toutes les compétences ont pour moteur la curiosité. Plus on affine son savoir, plus on interroge ses croyances et son mode de pensée ordinaire, plus on se rend disponible à la possibilité d’expérimenter des phénomènes qui échappent à notre « connu » habituel. Il est donc essentiel de lire des témoignages et des ouvrages sérieux sur les thèmes qui nous préoccupent, ainsi cela permet de s’ouvrir à une autre façon de penser. Il s'agit de se familiariser avec des notions, d’acquérir des éléments de connaissance, afin de pouvoir faire la différence, par exemple, entre un phénomène d’autosuggestion et une expérience extraordinaire. Venir aux constellations est aussi un moyen de vivre des expériences hors de l'ordinaire Boris Cyrulnik était à l'espace diamant à Ajaccio avec l'écrivain Boualem Sansal.
« Tous les pays ont une histoire tragique » lance Boris Cylrulnik. Pourquoi alors avoir voulu s’intéresser à la relation France-Algérie ? « J’ai surtout souhaité réfléchir à la réconciliation » explique t-il , « car ceux qui sont prisonniers du passé se préparent à des guerres chroniques ». Revenant sur les nombreux conflits qui ont opposé la France à d’autres peuples, qu’il s’agisse des Allemands, des Anglais, des Espagnols, ou, et c’est l’objet du livre « Résilience et réconciliation en Méditerranée », des Algériens, le neuropsychiatre dresse un constat : pratiquement toutes les guerres sont déclenchées par des problèmes passés. « Les Serbes ont envahi le Kosovo pour récupérer une terre perdue par une guerre contre les musulmans au 15ème siècle et cela a provoqué une ruine des deux peuples, beaucoup de souffrances, beaucoup de morts et cela n’a rien réglé du tout, puisque les kosovars n’ont qu’une idée en tête aujourd’hui, c’est de prendre leur revanche. J’ai vu des mères habiller leurs petits garçons en soldats et les préparer à cette revanche » raconte t-il. Pour sortir de cette impasse, il pose une alternative : « Ou bien on se rend prisonnier du passé et dans ce cas-là on a tous des comptes à régler, les protestants devraient faire la guerre aux catholiques, les musulmans devraient faire la guerre aux vénitiens qui ont permis de faire les croisades, les femmes devraient faire la guerre aux hommes… », ou bien, on va vers la réconciliation. La fameuse résilience, que son inventeur définit comme « la reprise d’un nouveau développement après un traumatisme ». Mais comment faire ? « Il faut faire une réflexion, mais ne pas vouloir régler les comptes avec le passé ». Est-ce si simple ? Oui, répond Boris Cyrulnik : « Cela se fait très facilement, mais il y a des gens qui ne veulent pas le faire » conclut-il. Julia Sereni, le samedi 3 Octobre 2020, a publié ce texte dans Corse Net Infos, le 3 octobre 2020. Cette conférence animée par le journaliste et écrivain José Lenzini, c'est tenue grâce à l’invitation d’ « histoires d’oeuvres » et à l'initiative de l’association " Racines de Ciel". Comment renforcer la confiance en soi et de développer l’estime de soi sans tomber dans le narcissisme.
Si vous êtes de ceux qui pensent des questions négatives du style :
L’image est très parlante, lorsque en thérapie systémique, pour évoquer la famille, la figure du mobile vient dans le discours, les parents et les enfants sont imaginés suspendus à la même structure en bois. L’idée est de démontrer que ce qui est vécu par l'un a forcément des répercussions sur les autres et que, pour rééquilibrer le clan, il est nécessaire que la parole soit donnée à chacun. Une famille est en mouvement, il est maladroit – mais tellement tentant! – de donner une étiquette immuable à chaque enfant.
On a vite tendance à dire, on le fait tous, «mon aîné, c’est le sérieux de la famille; mon deuxième, c’est la créative ; ma benjamine, c’est la douceur incarnée, etc.» Certes, cette habitude pimente le récit familial, mais elle limite le (la) concerné(e), surtout quand le qualificatif est négatif. Surtout à se rappeler que toutes les relations, même les plus détériorées, peuvent évoluer. Jeûne randos et initiation à la naturopathie au centre des Belles Humeurs.
Stage de jeûne d’une semaine : du samedi 10 octobre 2020 à partir de 15 heures au vendredi 16 octobre 2020, après avoir partagé le repas de reprise alimentaire, soit vers 13H30. Tous les détails vous seront envoyés au moment de votre inscription. Pour toute information par téléphone au 09 67 58 86 71 ou 06 13 15 93 19 Les groupes sont composés au maximum de 8 stagiaires pour permettre une prise en compte individualisée de chacun. Dernier jour de jeûne et constellations, jour d'émotions. Plaisir à la pensée de remanger, remastiquer, de savourer de bonnes saveurs. Demain les papilles seront toutes heureuses de rencontrer des goûts. Pour les constellations c'est une autre affaire, le groupe a pris goût à vivre dans le ressenti. . . Du coup, elles avaient envie de savourer ce dernier temps ensemble, de cette belle énergie de femmes, sororité remplie de douceur. Les jeûneuses avaient tous les matins un jus de légumes (carottes, gingembre, citron et un autre légume), tisanes à volonté, et bouillons de légumes le soir...
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